« Zephyr, gosh, comment raconter toute son histoire en détail sans en faire trop pour autant ? Alors, tout d'abord la belle princesse des ténèbres Libbie Zephyr Saddler est née un beau jours d'été à Buenos Aires - et oui, c'est loin l'amérique du sud. Tout semblé parfais ; maman en pleure ( de joix, of course ) et papa au bords des larmes, ainsi que frérot qui ne comprend rien mais qui est tout de même heureux. Les Saddler était donc comblés, la famille au complet, c'était si magique. Au cours de son enfance et jusqu'au début de l'adolescence, la famille était énormément soudé, chose qui peut paraître bizarre. Joni et Zephyr était extrêmement proche, ils étaient comme des meilleurs amis l'un pour l'autre, sans pour autant cacher les querelle de frère et soeur. « arrête ! Nan mais vraiment tu m'énerves ! Je vais me plaindre à papa » « ouais vas – y vas te consoler dans les bras de tout papounet ! Petite pleurnicharde ! Tu sais rien faire d'autres que de pleurer ! » Oui oui, je vous le disais, des meilleurs amis super proche ! Enfin... à quelque détails près. Mais leurs dispute ne durer pas plus de trente minutes ; leurs record pour le moment n'a pas dépasser les 40 minutes, alors ce n'étais pas vraiment très grave, les parents supportaient. Fin', ils ne pouvaient rien faire d'autres de toute manières. »
«Ouais ouais bon ta gueule Joni, c'est moi qui raconte le mieux notre histoire ! » « Pff arrête tu peux pas test avec ma narration parfaite ! » « Comment tu peux savoir ? Tu m'as jamais entendu raconter une histoire ! » Joni n'ouvrit plus la bouche, faute d'arguments. Zephyr lui fit son énorme sourire et continua de raconter l'histoire de sa vie. « Notre vie semblait parfaite. La famille parfaite j'oserai même dire. Mais ce n'était qu'image, réellement et dans la tête des parents, c'étaient pas ça, pour eux quelque chose cloché dans leurs monde ; ouais m'enfin on est pas dans bisounours et compagnie non plus, rien n'est parfait. Une soirée de ma onzième année, des bruits étrange interrompu notre séance de play station habituel. Moi, croyant toujours à la dame blanche et à tout ces blablas pris peur et me cacha sous mon lit. Joni pris le courage de descendre les escaliers, chose qu'il n'aurait pas du faire. Le temps s'éternisait comme quand Dora nous demande de choisir entre la montagne ou la rivière. Je n'entendais plus rien, c'était le silence total. Alors, je me mis en danger, si je puis dire, en descendant à mon tour les escaliers. Dans le couloirs, je ne voyais personne. Alors, je me dirigea vers le salon. Et là BAM, ce que je vis m'horrifia... Mon père faisant l'amour avec une autre femme que ma mère. Mes yeux n'en croyaient pas, nan nan ce n'était pas possible ! Alors que mon père ne m'avait pas encore remarquer, ma bouche s'ouvris et se qui en sorti lui montra bien ma présence. Les larmes coulèrent sous mes yeux, ma vie n'était pas parfaite, non pas comme dans bisounours... Je m'écroula en pleure, et Joni junior arriva. Il me prit dans ses bras alors que j'étais en pleine crise de nerfs. J'en voulais tellement à mon père... Il nous avais fais ça, à nous, sans doute la famille la plus connue de BA. C'était un mite qu'il brisais. Ce coups là, je l'aie vite rapporter à ma mère... Et je ne compris pas sa réaction. C'était limite si elle était heureuse. Alors elle aussi le tromper. Mais jvivais dans quel monde putain ? C'est comme si mon frère et moi avions était mis dans des bulles durant presque douze ans. On avaient crus en rien, en des choses fausse, nous avions crue à la perfection. Mais les Saddler sont loin d'être parfait. J'avais onze ans et j'étais orpheline, mes parents étaient morts dans mon cœur.
Alors maintenant, c'était finis la ptite fille parfaite. Jme suis rebellé. Alors qu'à mon âge, je fréquentai les grosses richarde bien cucu la praline, et BAM, après leurs avoir envoyé tout les gros mots que je connaissais à mon âge, je ne fis plus parti de leurs groupes. Jme mis à trainer avec les nouveaux potes à mon frères qui étaient assez... spécial. Avec eux, je me sentais réellement moi, je me sentais vivante. Avec cette bande de ouff, j'ai fumé ma première cigarette, ma première fois, et mon premier essaie de drogues. Mes ''parents'' n'étaient pas très fières, leurs deux enfants étaient des drogués, alcoolo et j'en passe. Ma vie était mouvementé, mais c'était tellement amusé de foutre la merde, de fumer dla merde et de foutre ma vie en l'air... Mais à 17ans, tout changea. Alors que j'allai à mon RDV habituel avec mon dealer, ce n'était plus le même. Mon dealer avait changer. Le nouveau était sexy et je finis très tôt dans son lit. Je me lia d'amitié avec lui, et notre amitié devint alors une amitié amélioré. Mais je trouva une faille, je ne voulais pas que du sexe avec lui. Mon coeur voulais plus que ça. J'en parla avec mon confident fidèle de mon cœur, le magnifique Joni, et il en déduit que j'étais amoureuse. Nan, c'était pas possible. Comme jpouvais aimé quelqu'un, moi ? Apprécié ok, mais aimé c'était tellement différent... Et puis un jour, je me décida à lui dire. « Dexter, je dois te dire quelque chose... » je m'approcha gracieusement vers lui, chose qui le faisais habituellement craqué. « Quoi babe ? T'en veux plus ? » « Nan c'est quelque chose de sérieux. » il explosa de rire « Tu vas mdire que tu m'aimes et tout ces trucs de princesse qui crois en l'amour ou quoi ? » non... il c'était moqué de moi sans le savoir, il ne pouvait pas être sérieux trois secondes. « T'es vraiment trop con » Vexée, je m'éclipsa, s'en était trop... Je voulais lui dire ce que je ressentais, et sans le savoir, il l'avait deviner et s'était moqué de moi. Je me rendi chez Joni, qui avais déjà son appartement, et se jeta dans ses bras en pleure... « J'ai essayé... j'ai pas pue » Alors, en bon frère qu'il est, il me consola et alla dire trois mots à Dexter.
Quand il revint de l'appartement du cher Dexter, il revint choqué. Il s'enferma dans sa chambre sans aucun mot, sans m'adresser la parole. J'étais alors inquiète. Je ne pouvais pas attendre sa fichu excuse. C'est alors qu'à mon tour je me rendis chez Dexter. Et je le trouve complétement HS sur son lit, assez perdu. Bien que je lui en voulais, je m'approcha. « Tu ne devrai pas être ici ... » Je m'arrêta nette. Après tout, il avait raison. Qu'est - ce que je faisais ici ? Alors, je fis demi tour. Mais à peine avais - je franchi le seuil de la porte, prête à fermer cette porte, je l'entendis à nouveau. « Mais c'est bien que tu sois là, Libbie. » Je me retourna. Il voulais de moi ? C'était une première, d'habitude il le disait différemment. Je m'approcha à nouveau vers lui, d'un pas assez hésitant. Je m'assis auprès de lui, sur le lit et le regarda profondément dans les yeux. Il était si beau, je ne pouvais résister... C'était trop dur. Je me retins tout de même quelques secondes, mais contre toute attente ce fut lui qui fis le premier pas. Il s'approcha près de moi et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Il n'avait jamais fais ça, il me montrai une autre facette de lui, et j'aimai ça.. C'était WAOUH ! Mais ce baise dura peu de temps, il s'écarta rapidement de moi, comme si il venait de faire une bêtise. Et oui, en effet, pour lui c'était une erreur. « Je... On ne peux pas... » Hein ? Mais qu'est - ce qu'il racontai ? Bien sûr qu'on pouvais, c'est juste qu'il ne voulais pas. Ce qu'il prononça me fis l'effet d'une claque, d'une douche froide, je me leva donc, folle de rage. « Tu peux dire que tu m'aime pas hein ! Tu peux ldire ! ça changera rien ! Tu m'embrasses et trois secondes plus tard tu deviens froid et disant, nan mais c'est quoi ton problème à toi ? » Pourquoi je rencontrai toujours des malades ? Pourquoi ça tombais toujours sur moi ? Je n'avais décidément pas de chance. Je me sentis prête à partir, et je ne reviendrai pas sur mes pas, une chose est sûr. Les larmes commencèrent à couler, et bien que je voulais lui dire une dernière parole, je ne voulais pas paraitre faible et qu'il entende ma voix en pleure, pleine de sanglot. Je rentre chez Joni, en larme. Il avait ouvert la porte et m'avait offert ses bras. Son odeur m'apaisa et je me senti bien.
Les jours passer et je n'avais pas vue Dexter depuis la dernière fois. Joni agissais bizarrement, comme si il savait quelque chose mais ne pouvais pas me le dire. Et puis un jour, alors que je rentrai de bonne heure, je le surpris en pleine conversation avec... Dexter. Celui - ci était en face de lui et m'avait rapidement reconnue. Mais qu'est - ce qu'il foutai ici ? Joni m'avait pourtant dis qu'il avais coupé tout lien avec lui... Je me croyais dans un cauchemar. Le silence régner, lorsque je eux prononcé un mot.« Quelqu'un peut m'expliquer c'est quoi ce bordel ? » Aucun des deux n'osa parler. Lorsque Dexter fit un signe de tête à mon frère pour lui montrer qu'il allai tout expliquer. « Libbie, il faut que je te dise quelque chose.. » Quoi quoi il allai me raconter quoi ? Qu'il est marié ? Qu'il va mourir ? Qu'il est con - même si ça, ce n'est pas une nouvelle - ? Je soupira, une petite partie de moi me disais de lui laisser une dernière chance, une chance pour s'expliquer.. « Raconte toujours. » Il esquissa un petit sourire, assez content de lui.
« Je ne sais pas si tu vas me croire, ni même tu vas continuer à m'aimer après ce que je vais te raconter là. Avant toute chose ; je t'aime Libbie, de tout mon cœur, ne l'oublie jamais. Seulement je ne peux pas, nous ne pouvons pas être ensemble, je te ferai trop de mal, tu ne pourrai pas avoir une vie comme ceci, tu ne le mérite pas, je ne te mérite pas j'ai fais tellement de chose mal. Je ne suis pas comme tout le monde, je suis différent des humains de cette terre. Je suis un vampire je suis un tueur... » Nan mais attends, il me prend vraiment pour une conne ? J'avais 18 ans, OK je suis jeune, mais pas pour autant conne. Je me leva énervée. « Nan mais tu me prend pour qui ? J'ai plus l'âge d'entendre ces conneries ! Si tu te fou de ma gueule sors de chez moi s'il te plait . » soupirai - je alors fatigué de tout ces mensonges. « Joni m'avait prévenu, tu ne me crois pas... Au revoir Libbie. » Et il sortit comme ça, me laissant en plan. Joni l'avait donc cru ? Avait cru à ses bêtises ? Non, il est beaucoup plus intelligent que ça comme même... ou pas.
Le lendemain, Joni vint me voir pour m'avouer qu'il était "lui aussi un vampire et ce fut Dexter qui le mordis énervé, et, ne voulant pas tuer son meilleur potes l'a transformé " et blablabla. C'était la mode ou quoi le truc " être un vampire " ? Je n'y crue pas jusqu'à ce que je le vis tuer et s'abreuver du corps d'une jeune femme.. C'était horrible. Les vampires existaient donc, et je voulais en être une à mon tour. Dexter était parti loin, il était triste. J'avais convaincu Joni de me transformer pour que j'ai l'avenir devant moi pour trouver celui que j'aime... Et nous avons traversé l'Argentine, le Paraguay, le Perou, et j'en passe, pour arriver au USA.
Nous sommes désormais à Mystic Fall's, après avoir entendus parler de cette ville comme "surnaturel" . Y trouverons - nous Dexter ? Je ne sais pas, nous venons d'arriver ; mais une chose est sûr, j'aime beaucoup cette ville pleine de monstre ... Désormais, ce n'est plus Libbie, mais Zephyr, une autre personne ; buveuse de sang,et amoureuse comme jamais. Les Saddler sont à Mystic Fall's ! à suivre...